dijous, 5 de març del 2009

Lucienne Delyle - Sérénade Sans Espoir (Penny Serenade), 1939




Chaque soir tendrement j'entends chanter sous ma fenêtre
Chaque soir un amant revient vers moi pour m'émouvoir

Si, si, si, ce n'est qu'une sérénade
Si, si, si, sérénade sans espoir

Dans le noir je l'entends chanter pour moi de tout son être
Mais hélas, dans mon cœur et dans ma maison il fait noir

Si, si, si, ce n'est qu'une sérénade
Si, si, si, sérénade sans espoir

Il a cru qu'autrefois je l'aimais, il veux le croire encore
Mais mon cœur s'est fermé à jamais c'est en vain qu'il m'implore
Chaque soir tristement il vient chanter sous ma fenêtre
Chaque soir il s'en va sans m'attendrir et sans me voir

Si, si, si, ce n'est qu'une sérénade
Si, si, si, sérénade sans espoir

Ah ah ah ah .......